Guy Debord était un théoricien marxiste français dont l'œuvre a exploré le déclin spirituel de la vie moderne, entraîné par les forces économiques. Il a conceptualisé le 'spectacle' comme des relations sociales médiatisées par des images, qui, selon lui, conduisent à l'aliénation. Cette aliénation, postulait Debord, n'est pas simplement un état psychologique mais une conséquence de l'organisation sociale atteignant son apogée dans le capitalisme. Ses écrits explorent comment l'influence omniprésente des images et de la culture de consommation érode les liens humains authentiques.
Como Marx, pero francés y como un pequeño libro de bolsillo. Las ganancias de este libro recogidas por el autor van a la ayuda mutua a través del centro de ayuda mutua para que los capitalistas más codiciosos no se beneficien del libro, aunque lo harán a pesar de que el capitalismo está abolido.
First published in 1967, Guy Debord’s stinging revolutionary critique ofcontemporary society, The Society of the Spectacle has since acquired acult status. Credited by many as being the inspiration for the ideasgenerated by the events of May 1968 in France, Debord’s pitiless attackon commodity fetishism and its incrustation in the practices of everydaylife continues to burn brightly in today’s age of satellite televisionand the soundbite. In Comments on the Society of the Spectacle, publishedtwenty years later, Debord returned to the themes of his previousanalysis and demonstrated how they were all the more relevant in aperiod when the “integrated spectacle” was dominant. Resolutely refusingto be reconciled to the system, Debord trenchantly slices through thedoxa and mystification offered tip by journalists and pundits to showhow aspects of reality as diverse as terrorism and the environment, theMafia and the media, were caught up in the logic of the spectacularsociety. Pointing the finger clearly at those who benefit from the logicof domination, Debord’s Comments convey the revolutionary impulse atthe heart of situationism.
Ces commentaires pourront servir à écrire un jour l'histoire du spectacle ; sans doute le plus important événement qui se soit produit dans ce siècle, et aussi celui que l'on s'est le moins aventuré à expliquer. En des circonstances différentes, je crois que j'aurais pu me considérer comme grandement satisfait de mon premier travail sur ce sujet, et laisser à d'autres le soin de regarder la suite. Mais, dans le moment où nous sommes, il m'a semblé que personne d'autre ne le ferait.
Guy Debord’s silver-tongue-in-cheek autobiography mixes precision and pastiche in a whirlwind account of philosophy, exploit, and inebriation. From the stark professions of Volume I to the illustrated sequences of Volume 2, Panegyric confronts us with a figure who strategically, demonically tried to wrest life from the disabling modern ‘spectacle.’
Letters by writer, filmmaker, and cultural revolutionary Guy Debord conjure a vivid picture of the dynamic first years of the Situationist International movement.
Systématisant les thèmes développés dans la revue Internationale situationniste, Debord critique tous les aspects du capitalisme et de son système général d'illusions où la représentation est préférée à la réalité, tout en incitant à une praxis révolutionnaire nouvelle pour une société sans classe.