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Jad Hatem

    3 décembre 1952
    Marx, philosophe de l'intersubjectivité
    Barbey d'Aurevilly et Schelling
    Schelling et Proust
    Amour pur et vitesse chez madame Guyon et Kleist
    Schelling
    Liberté humaine et divine ironie
    • Liberté humaine et divine ironie

      • 194pages
      • 7 heures de lecture

      Dans quelle mesure Schelling est resté proche de l'esprit de Luther, comment apprécier l'influence d'une oeuvre théologique dont la lecture ne fut pas l'objet favori des méditations du philosophe et qui, de surcroît, ne s'est pas privée d'insulter gravement à la raison, l'objectif du présent essai est de contribuer à l'établir.

      Liberté humaine et divine ironie
    • Schelling

      • 120pages
      • 5 heures de lecture

      Cet ouvrage, consacré à Philosophie et religion (1804) et aux Recherches philosophiques sur l'essence de la liberté humaine (1809), prend son départ dans une sentence de Schelling hautement prisée par Heidegger : "L'angoisse même de la vie pousse l'homme hors du centre où il a été créé". L'auteur a procédé à des comparaisons, notamment avec Dante (le passage par l'enfer), Kierkegaard (la liberté comme angoisse) et Soloviev (le mal comme inversion).

      Schelling
    • Analysant la spiritualité développée par madame Guyon, mystique du XVIIe siècle proche de Fénelon, pour qui seul le pur amour permet l'accès à Dieu, l'auteur étudie l'oeuvre de H. von Kleist et en particulier Catherine de Heilbronn et Penthésilée. Il dégage notamment les accents très guyoniens de Kähtchen ainsi que les relations étroites entre folie d'amour et vitesse.

      Amour pur et vitesse chez madame Guyon et Kleist
    • Barbey d'Aurevilly et Schelling

      • 154pages
      • 6 heures de lecture

      Barbey qui a vu en Schelling un grand poète en métaphysique, s'en est inspiré pour étayer sa conception de la création artistique. La présente monographie, la seule à avoir jamais traité du sujet, un sujet insoupçonnable pour la plupart, s'attache à examiner la portée de l'impact de la lecture de Schelling par Barbey critique et, surtout, par Barbey romancier. C'est que le Français a été vivement frappé par la sentence de l'Allemand qui veut que « les passions auxquelles notre morale négative fait la guerre, sont issues d'une même racine avec les vertus qui y correspondent. L'âme de toute haine, c'est l'amour, et la colère la plus violente n'est que le calme troublé et excité dans son centre le plus intime ». L'essai a donc été tenté d'une interprétation de l'ensemble de l'Œuvre romanesque en fonction de la dialectique schellingienne du bien et du mal.

      Barbey d'Aurevilly et Schelling
    • Marx est essentiellement un philosophe de l'interhumain. Il lui revient d'avoir envisagé la présence originaire de l'autre non seulement par sa parole qui sollicite réponse et adhésion, par son acte ou par son sentiment, mais aussi par son travail. Ce dernier est le lieu, ou d'une rencontre qui signifie un surcroît d'être, ou d'une relation corrompue par la médiation de l'argent et l'appropriation qui aboutit à la chosification de la personne. A cet univers inhumain Marx opposera le paradigme goethéen de l'homme total.

      Marx, philosophe de l'intersubjectivité
    • Postponing Heaven

      • 110pages
      • 4 heures de lecture
      4,0(3)Évaluer

      Exploring the intersections of spirituality and messianic themes, this work delves into the narratives of the Three Nephites, the Bodhisattva, and the Mahdi. It examines how the postponement of bliss serves as a profound act of salvation, weaving together religious traditions and philosophical insights. The text invites readers to reflect on the implications of these figures in their respective faiths and the broader context of human longing for redemption and enlightenment.

      Postponing Heaven