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Alain Galliari

    Anton von Webern
    Franz Liszt et l'espérance du bon larron
    Richard Wagner ou Le salut corrompu
    • Richard Wagner ou Le salut corrompu

      • 154pages
      • 6 heures de lecture

      Richard Wagner se voulait poète autant que musicien. Il écrivit lui-même les livrets de ses opéras, qu’il revendiquait au même titre que la musique. C’est à eux qu’Alain Galliari s’attache ici, selon une optique généralement négligée bien qu’elle soit centrale dans l’univers wagnérien : la quête du Salut. Du Hollandais volant (1841) à Parsifal (1879), les héros wagnériens sont tous habités par la promesse de relèvement qui est au cœur de la Révélation chrétienne, par ce combat intérieur cherchant la voie qui tourne le dos au Mal et marche vers le Bien. C’est pourtant le chemin inverse que son œuvre ne cesse de pratiquer, en vertu d’un secret refus qu’Alain Galliari tente d’approcher. Suivre les héros wagnériens dans leur quête obscurcie du Salut revient ainsi à observer l’œuvre subtile du Mal : égarer les cœurs qui cherchent Dieu, afin de les détourner du chemin qui les ramène à Lui ; les amener à préférer être comme des dieux plutôt qu’à l’image de Dieu. « Wagner n’a médité aucun problème plus intensément que celui du Salut. » (Nietzsche)

      Richard Wagner ou Le salut corrompu
    • Franz Liszt et l'espérance du bon larron

      • 297pages
      • 11 heures de lecture

      Enfant prodige, star du piano, compositeur génial, galant homme et grand de son siècle... Franz Liszt eut tout de ce que le monde vante : dons, beauté, célébrité, fortune... D’avoir possédé tant de biens n’éteignit pas pourtant en lui l’aspiration religieuse qu’il éprouva bien au contraire toujours – malgré tout ce qui s’opposa dans le même temps à cette aspiration.L’incompréhension n’a pas manqué à ce sujet, chacun s’étonnant de ce que ce musicien dont la vie ne fut pas un modèle d’édification ait décidé à cinquante ans passés de recevoir les ordres mineurs et de porter la soutane. Liszt lui-même ne cacha pas le décalage que sa foi religieuse entretenait avec son être extérieur, se plaçant à la fin de sa vie sous l’invocation du Bon Larron, que la contrition ouvrit à la miséricorde du Christ.La foisonnante littérature que Liszt a suscitée a peu abordé ce drame intérieur du musicien, essentiel pourtant à l’approche de l’homme et de son œuvre. Alain Galliari s’attache donc à éclairer cet aspect fondamental et en fait un fil conducteur pour interpréter la cohérence d’une personnalité artistique qui a dominé son siècle et marqué durablement la postérité.Musicologue, directeur de la Médiathèque Musicale Mahler, Alain Galliari est l’auteur de Anton von Webern (Fayard, 2007).

      Franz Liszt et l'espérance du bon larron
    • Anton von Webern

      • 984pages
      • 35 heures de lecture

      Un compositeur capital du XXe siècle que la radicalité de son écriture a érigé en statue et dont cette monographie cherche à restituer les vérités de l'homme au-delà de la légende

      Anton von Webern