Marcel Pagnol Livres







Angèle
- 181pages
- 7 heures de lecture
Petit roman de jeunesse (1921) suivi d'une courte nouvelle où se devinent déjà l'observation sympathique et l'humour pittoresque de l'écrivain.
Manon des sources
- 308pages
- 11 heures de lecture
Récit simple et puissant d'une lutte pour la vie, histoire d'un crime et de son châtiment, drame d'une vengeance, tragédie familiale, conflit des cœurs purs et des âmes fortes, opposant un jeune citadin plein de fraîcheur et d'enthousiasme à deux paysans durs, âpres, sournois, fermés, implacables, peinture exacte et magnifique des hommes de la terre, chant du monde, poème de l'eau, du vent, des saisons, des collines, Jean de Florette et Manon des sources sont tout cela et ils sont beaucoup plus que cela, un des sommets de l'oeuvre de PAGNOL : le livre de la faute, de l'innocence et du pardon.
Jean de Florette
- 316pages
- 12 heures de lecture
Au village des Bastides Blanches, on hait ceux de Crespin. C'est pourquoi lorsque Jean Cadoret, le Bossu, s'installe à la ferme des Romarins, on ne lui parle pas de la source cachée. Ce qui facilite les manœuvres des Soubevran, le Papet et son neveu Ugolin. qui veulent lui racheter son domaine à bas prix... Jean de Florette (1962), premier volume de L'Eau des collines, marque, trente ans après Pirouettes, le retour de Pagnol au roman. C'est l'épopée de l'eau nourricière sans laquelle rien n'est possible. Marcel Pagnol y développe l'histoire du père de Manon, évoquée sous forme de flash-back dans le filin Manon des sources (1952). Les dialogues sont savoureux, et la prose aussi limpide que dans les Souvenirs d'enfance. Quant au Papet et à Ugolin, à la fois drôles et terrifiants, ils sont parmi les créations les plus complexes de Pagnol. " Tri comprends, s'ils avaient bu l'eau de la citerne, c'est sûr qu'ils seraient morts tous les trois, et moi ça m'aurait embêté. D'avoir bouché la source, c'est pas criminel : c'est pour les œillets. Mais si, à cause de ça, il y avait des morts, eh bien peut-être qu'après nous n'en parlerions pas, mais nous y penserions.
Confidences
- 335pages
- 12 heures de lecture
Le Schpountz
- 251pages
- 9 heures de lecture
Quand on fair rire sur la scène ou sur l'écran, on ne s'abaisse pas, bien au contraire. Faire rire ceux qui rentrent des champs, avec leurs grandes mains tellement dures qu'ils ne peuvent plus le fermer ; ceux qui sortent des bureaux avec leurs petites poitrines qui ne savent plus le goût de l'air. Ceux qui reviennent de l'usine, la tête basse, les ongles cassés, avec de l'huile noire dans les coupures de leurs doigts... Faire rire tous ceux qui mourront, faire rire tous ceux qui ont perdu leur mère, ou qui la perdront...
Théâtre avec quinze personnages: deux femmes, treize hommes



