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Jean Mabire

  • Sven
  • Erling Ledanois
  • Didier Brument
  • Éric Dubecquet
  • Henri Landemer
  • Rolf Guillaumot
  • Jean de La Huberdière
8 février 1927 – 29 mars 2006
Jean Mabire
La division Charlemagne
Les jeunes fauves du Führer
La Brigade Frankreich
Les diables verts de Cassino
Les SS au Poing-de-Fer face aux paras américains
Division Nordland
  • 2016
  • 2015
  • 2015
  • 2005

    Quand les Allemands attaquent à l'Ouest le 10 mai 1940, après les mois d'attente de la " drôle de guerre ", ils alignent, à côté des unités de la Wehrmacht, l'armée de conscription, des formations militaires issues des rangs mêmes du parti nationalsocialiste. Ces hommes constituent l'embryon de la Waffen SS, qui comptera dans ses rangs à la fin de la guerre plus d'un million de combattants, venus d'une trentaine de nations, et formant le fer de lance des armées du IIIe Reich. Les " soldats politiques " qui vont ainsi participer à la bataille de France appartiennent à la garde personnelle du Führer, la Leibstandarte SS Adolf Hitler, aux régiments Deutschland, Germania et Der Führer de la future division Das Reich, ainsi qu'aux unités d'infanterie Totenkopf. Engagés entre le 19 mai et le 24 juin 1940, les SS, lancés dans la Blitzkrieg avec le fanatisme des troupes de choc issues d'un régime orgueilleux de la puissance militaire retrouvée, se heurteront à des unités anglaises et françaises. Le choc sera souvent rude, au point que les formations allemandes engagées compteront 10 % de pertes au feu.

    La Waffen SS dans la bataille de France
  • 2001

    Panzers SS dans l'enfer normand

    • 279pages
    • 10 heures de lecture

    Ce livre s'inscrit dans la série des documents historiques consacrés par l'auteur au rôle des divisions allemandes pendant la bataille de Normandie. Il complète Les jeunes Fauves du Führer et Les SS au Poing-de-Fer, parus chez le même éditeur. Deux divisions blindées de la Waffen SS, Hohenstaufen et Frundsberg, qui se trouvaient au combat sur le Front de l'Est, ont été rameutées pour être engagées en Normandie. Après avoir traversé toute l'Europe, elles sont arrivées trop tard pour monter la grande contre-attaque blindée dont rêvait le commandement des forces allemandes. Engagées dans la partie orientale du front face aux Britanniques, ces deux divisions étaient dès lors destinées à mener des combats uniquement défensifs et à voir leurs effectifs fondre inéluctablement dans " l'enfer normand ". Voici, dans sa réalité quotidienne, la terrible " guerre des haies " où les adversaires ont mené des combats d'infanterie aussi meurtriers que ceux de la Première Guerre mondiale.

    Panzers SS dans l'enfer normand
  • 2000

    Ce volume raconte l'histoire de la "Hitlerjugend" lors des campagnes de Normandie en 1944. La première partie retrace l'histoire de cette division de l'armée allemande, formée de jeunes volontaires qui n'ont pas l'âge de la conscription. [SDM]

    Les jeunes fauves du Führer
  • 1999

    Forte d'une simple compagnie en 1933, la garde personnelle d'Adolf Hitler, la "Leibstandarte", est devenue une dizaine d'années plus tard une Panzerdivision qui fut parmi les plus redoutables de la Waffen SS. Cette troupe d'élite, formée de jeunes soldats sélectionnés pour leur stature, leur fanatisme et leur courage, a combattu sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale. Commandée par le légendaire lansquenet bavarois "Sepp" Dietrich, elle a participé aux offensives les plus hardies comme aux combats les plus désespérés. En Pologne, en Hollande, en Macédoine, en Grèce, en Ukraine, en Normandie, dans les Ardennes ou en Hongrie, les hommes de la Garde Noire ont toujours été à la pointe de l'armée allemande. A l'approche de la défaite, ses Panzers ont vainement tenté de forcer la décision, et le sacrifice des régiments de la "Leibstandarte" achève l'aventure militaire du IIIème Reich.

    Les panzers de la Garde noire
  • 1998
  • 1997

    Créée début 1943, la division "Nordland" était composée de quelques milliers de Norvégiens et de Danois, de quelques centaines de Suisses, de dizaines de Suédois et même d'une poignée de Britanniques. Sitôt la division opérationnelle, l'état-major la dirige en plein hiver sur le front de Leningrad assiégée, face à la position soviétique d'Orianenbaum, qui résiste depuis 1941 à tous les assauts. C'est au tour des Russes de prendre l'offensive et ils repoussent les envahisseurs jusque dans les pays baltes. Pendant de longs mois, les volontaires germaniques se battent à Narva. Puis ils tentent de constituer en Estonie un front défensif, aux côtés des Hollandais, des Flamands et des Wallons de la Waffen SS. En dépit de ce renfort, ils doivent battres en retraite jusqu'en Courlande. Début 1945, la division "Nordland" échappe à l'encerclement en étant évacuée par mer vers la Poméranie. C'est là qu'échouera la dernière contre-attaque allemande, à la fin de l'hiver. Quelques centaines de survivants gagneront alors Berlin, où ils livreront un ultime combat désespéré, appuyés par quelques Espagnols et un bataillon de marche de volontaires français de la division "Charlemagne".

    Division Nordland
  • 1997

    1944-1945. Tandis que leurs camarades de la 1re division étaient pratiquement anéantis à Arnhem, les parachutistes et les aéroportés de la 6e Airborne, après avoir subi de lourdes pertes lors de la bataille de Normandie, reconstituaient en Angleterre une grande unité de choc, prête à être de nouveau engagée sur le théâtre d'opérations européen. Les premiers éléments sont envoyés de toute urgence dans les Ardennes, où ils contribuent à bloquer, au mois de décembre 1944, la dernière offensive allemande sur le front de l'Ouest. L'ensemble de la division reçoit alors un des ordres les plus ambitieux de toute son histoire : sauter au-delà du Rhin en plein territoire ennemi. Cette opération, qui aura lieu le 24 mars 1945, prend le nom de code de " Varsity ". Le succès remporté à Hamminkeln venge l'échec subi à Arnhem. Menée de main de maître dans les derniers mois de la guerre, cette ultime intervention des Bérets Rouges britanniques et canadiens apparaît comme le type même d'une opération aéroportée parfaitement préparée, conduite, exploitée. Pendant tout le mois d'avril et les premiers jours de mai 1945, il reste à lancer une véritable course à la mer. La 6e Airborne progresse en combattant vers la lande de Lüneburg et le rivage de la Baltique. Elle termine la guerre à Wismar, où les paras assistent à la première rencontre des deux maréchaux alliés : Montgomery et Rokossovsky.

    La 6e Airborne des Ardennes à la Baltique