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Jean Giono

    30 mars 1895 – 9 octobre 1970
    Jean Giono
    Le Moulin de Pologne
    Jean le Bleu
    Solitude de la pitié
    L´homme qui plantait des arbres - Ecrire la nature (anthologie)
    Regain
    L'homme qui plantait des arbres
    • L'homme qui plantait des arbres

      • 58pages
      • 3 heures de lecture
      4,6(31508)Évaluer

      Elzéard Bouffier, berger paisible et obstiné, a planté toute sa vie des arbres et la région des landes de Haute Provence est devenue verdoyante et fraîche.

      L'homme qui plantait des arbres
    • Regain

      • 175pages
      • 7 heures de lecture
      4,6(36)Évaluer

      Tous sont partis. Panturle se retrouve seul dans ce village de Haute-Provence battu par les vents au milieu d'une nature âpre et sauvage. Par la grâce d'une simple femme, la vie renaîtra. Jean Giono, un de nos plus grands conteurs, exalte dans Regain avec un lyrisme sensuel les liens profonds qui lient les paysans à la nature.

      Regain
    • Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'un lecture d'image, écho pictural de l'ouvre, est suivi de s mise en perspective organisée en six points : Vie littéraire : La nature prend la parole ; L'écrivain a sa table de travail : La nature en toutes lettres ; Groupement de textes thématique : Une pomme, des pommes ; Groupement de textes stylistique : Au nom de la nature ; Chronologie : Une breve histoire de la nature ; Fiche : Des pistes pour rendre compte de sa lecture.

      L´homme qui plantait des arbres - Ecrire la nature (anthologie)
    • Dans ce récit autobiographique, Jean Giono évoque son enfance passée à Manosque, dans une maison haute avec un escalier étroit qui relie la blanchisserie du rez-de-chaussée, où s’active sa mère, Pauline, au troisième où se trouve l’atelier de cordonnier de son père. C’est là que Jean Giono a appris à sentir, à voir et à penser, sous la garde vigilante de sa mère, modelé par la sagesse et la grande bonté de son père. Jean Giono nous raconte aussi les aventures et les drames qui l’ont marqué et sa découverte de la sensualité au cours d’un séjour chez les bergers. C’est sur le départ pour la guerre de 1914 que s’achève ce merveilleux recueil de souvenirs d’enfance, empli de fraîcheur et de tendresse.

      Jean le Bleu
    • Que ma joie demeure

      • 413pages
      • 15 heures de lecture
      4,0(156)Évaluer

      Sur le rude plateau provençal de Grémone, quelques hommes peinent tristement sur leurs terres, chacun de leur côté. Ils comprendront le message de joie et d'espérance que leur apporte le sage Bobi, vagabond au coeur généreux, et, malgré les difficultés de l'existence, la joie renaîtra sur le plateau. Que ma joie demeure est un hymne à la vie, un chant merveilleux en l'honneur de la nature, des hommes et des animaux.

      Que ma joie demeure
    • Un étranger mystérieux, un orage qui gronde, des paysans ivres, et c'est soudain un déchaînement de violence, une transe collective qui s'empare de tout le village pour s'achever en orgie dionysiaque... Une femme se laisse charmer par les chansons d'un ouvrier italien au désespoir de son mari ; un vieil homme prêt à tout pour défendre les arbres qu'il a plantés ; une jeune fille qui tache sa robe de mariée en aidant son père à saigner un cochon... Quatre nouvelles au goût amer, quatre textes marqués par le mal qui ronge le coeur des paysans.

      Prélude de Pan
    • A la « Buvette du Piémont », un vieux journalier est attiré par un grand gars qui parait affreusement triste et provoque ses confidences : Albin venait de la montagne, de Baumugnes. Trois ans auparavant, il était tombé amoureux fou d'une fille qui s'est laissé séduire par le Louis, « un type de Marseille, un jeune tout creux comme un mauvais radis». Le Louis ne lui avait pas caché que son intention était de mettre la fille sur le trottoir. Depuis, Albin était inconsolable, traînant de ferme en ferme, sans se résoudre à remonter à Baumugnes. Alors le vieux, qui n'est que bonté, décide d'aider Albin...

      Un de Baumugnes
    • Le Chant Du Monde

      • 280pages
      • 10 heures de lecture
      3,9(170)Évaluer

      «Le matin fleurissait comme un sureau. Antonio était frais et plus grand que nature, une nouvelle jeunesse le gonflait de feuillages. - Voilà qu'il a passé l'époque de verdure, se dit-il. Il entendait dans sa main la truite en train de mourir. Sans bien savoir au juste, il se voyait dans son île, debout, dressant les bras, les poings illuminés de joies attachées au monde, claquantes et dorées comme des truites prisonnières. Clara, assise à ses pieds, lui serrait les jambes dans ses bras tendres.»

      Le Chant Du Monde