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Michèle Lesbre

    25 novembre 1939
    Lausche dem Regen
    Purer Zufall. Roman
    Das rote Canapé
    Sur le sable
    Le canapé rouge
    Ecoute la pluie. Lausche dem Regen, französische Ausgabe
    • 2014
    • 2009

      Sur le sable

      • 148pages
      • 6 heures de lecture

      Apercevant des flammes derrière une dune qu'elle longeait au gré de ses pérégrinations, la narratrice s'arrête. A la lisière de l'incendie, recroquevillé sous une couverture, un homme prostré contemple le sinistre. Intriguée, la femme accepte de rester près de lui. En rupture de ban, elle vient de quitter un poste de veilleuse de nuit dans un hôtel parisien. Elle a également rompu avec l'homme qu'elle aimait. Les personnages des romans de Modiano, qu'elle a intégralement relus à la faveur de ses nuits de veille, lui offraient sans doute une meilleure compagnie... Flottant entre les êtres réels et les êtres de fiction, elle suit ce qu'elle appelle sa " pente douce ". L'homme de la plage ne cesse de parler. Il est venu enterrer sa mère et, dirait-on, voir disparaître cette maison de malheur où se sont noués pour lui tant de drames : la jeune noyée d'un dimanche de son enfance, sa mère qui venait y rejoindre son amant, un ancien de l'OAS, et Sandra, avec qui il aurait aimé vivre là mais qui a été brutalement extradée vers l'Italie pour y être emprisonnée. Au fil du monologue de ce compagnon de hasard, son auditrice est comme malgré elle envahie par ses propres fantômes. Ses deuils, son amour perdu à Bologne, sa quête et ses combats ressurgissent, brossant par touches légères le portrait d'une femme dont la liberté et la solitude sont les véritables compagnes. Avec ce onzième livre, Michèle Lesbre poursuit sa route, déterminée et lumineuse, où le pouvoir enchanteur des mots réveille la rumeur du monde.

      Sur le sable
    • 2007

      Le canapé rouge

      • 148pages
      • 6 heures de lecture
      3,7(32)Évaluer

      Sans nouvelles de Gyl qu'elle avait naguère aimé, la narratrice part sur ses pas. Dans le Transsibérien, à la faveur de ses rencontres, des paysages qui défilent et de ses lectures, elle laisse vagabonder ses pensées qui la renvoient sans cesse à la vieille dame qu'elle a laissée à Paris. Clémence Barrot doit l'attendre sur son canapé rouge au fond de l'appartement d'où elle ne sort plus guère

      Le canapé rouge