Pour moi, écrire est plus qu'une simple façon de raconter de belles histoires ; c'est une manière d'explorer ce qui compte vraiment pour nous en tant qu'êtres humains. Mes personnages, comme nous tous, s'efforcent de découvrir une forme de vérité, de répondre à une question fondamentale sur eux-mêmes tout en affrontant les dilemmes de la vie. Ayant été impliqué dans le monde de l'art la plupart de ma vie en tant qu'historien, connaisseur et collectionneur, je trouve que les arts visuels éclairent mon écriture, tant en termes de description que d'environnement physique —toujours un personnage à part entière— et la lutte que les artistes endurent pour explorer le monde sous tous les angles. Le grand art, comme la grande littérature, ne doit jamais livrer tous ses secrets ; il doit toujours y avoir suffisamment de mystère et d'ambiguïté pour le garder frais et vivant. L'art le plus profond consiste à transmettre des sentiments et le sens d'une quête spirituelle — l'aperçu fugace de l'invisible au cœur extatique de la vie. Nous existons sous le sortilège de la mémoire, imprégnés des gloires métamorphiques du monde visuel.
In Gods of Deception, acclaimed novelist David Adams Cleveland has created a thrilling tale of espionage, a family saga, a stirring love story, and a meditation on time and memory, taking you on an unforgettable journey into the troubled human heart as well as the past-a past that is ever present, where the gods of deception await our distant call.
As Robert goes about his daily activities during April, he encounters an ever-increasing number of rabbits.