Plus d’un million de livres, à portée de main !
Bookbot

Robert Doisneau

    14 avril 1912 – 1 avril 1994

    Pionnier du photojournalisme, ce photographe français a capturé la vie de rue à Paris au début des années 1930. Sa maîtrise réside dans la capture de moments de connexion humaine avec tendresse et esprit, mettant souvent en avant des gens ordinaires dans des scènes familières. Ses œuvres emblématiques évoquent un sentiment de nostalgie et le pouvoir durable de la vie quotidienne.

    Un certain Robert Doisneau
    Les doigts pleins d'encre
    Rue Jacques Prévert
    Trois secondes d'éternité
    Robert Doisneau
    Paris
    • 2009

      Paris

      • 192pages
      • 7 heures de lecture
      4,6(113)Évaluer

      «Il est des jours où l'on ressent le simple fait de voir comme un véritable bonheur ; on est léger, léger ; les flics arrêtent les voitures pour vous laisser passer. On se sent si riche qu'il vous vient l'envie de partager avec les autres une trop grande jubilation. C'est dimanche comme le chantait le plombier zingueur de Prévert. Le souvenir de ces moments est ce que je possède de plus précieux. Peut-être à cause de leur rareté. Un centième de seconde par ci, un centième de seconde par là mis bout à bout, cela ne fait jamais qu'une, deux, trois secondes chipées à l'éternité.» Robert Doisneau

      Paris
    • 2001

      Tous les jours dimanche

      • 87pages
      • 4 heures de lecture

      88pages. 29x25x2cm. Relié. Nombreuses photos en noir.

      Tous les jours dimanche
    • 1992

      Jacques Prévert et Robert Doisneau : des amis - ils le disent tout les deux. Cet album est l'histoire de leurs balades, de leur amitié, de leur complicité. "C'est Prévert qui m'a appris le Château Tremblant et le pont de Crimée", se souvient Doisneau. En lisant Prévert, on voit surgir les photographies de Doisneau : rue de Buci, les Halles, le canal Saint-Martin... En regardant Doisneau, on entend les poèmes de Prévert : "Les enfants qui s'aiment", "Et la fête continue", "Les feuilles mortes"... Leurs promenades les mènent dans les quartiers les plus populaires - ceux qui en parlent -, les photos qui en résultent semblent toutes inspirées par l'amour des choses qui vont ensemble : les accordéonistes et les danseurs, les tatoueurs et les tatoués, Gréco et Saint-Germain-des-Prés, les amoureux et les quais de la Seine... Le poète et le photographe, c'est Jacques Prévert qui l'écrit, ont la complicité du gibier et du braconnier. Ici, le poète se laisse tirer le portrait sans méfiance par Doisneau, car quelque chose lui dit qu'il est en pays de connaissance, qu'il est face à un compagnon de voyage, à un compatriote de la vie.

      Rue Jacques Prévert
    • 1989
    • 1986

      Un certain Robert Doisneau

      La très véridique histoire d'un photographe racontée par lui-même

      • 173pages
      • 7 heures de lecture

      Un livre inclassable - ex-voto, fourre-tout ou pot-pourri suivant l'humeur. Rien d'un tableau de chasse - des images, des mots ramassés par un mutant. Tous ces éléments laissés à leur fantaisie de dérapages incontrôlés. En somme, des autoportraits donc traités avec une infinie pitié et un brin de dérision, avec le secret espoir que cette cueillette contribue à déranger l'ordre établi. Tout ceci n'est absolument pas sérieux, Dieu merci. Robert Doisneau

      Un certain Robert Doisneau
    • 1983

      Poète des banlieues maussades et des petits riens anonymes, Robert Doisneau est ce Parisien malicieux qui joue de la photographie comme son ami Prévert jouait des mots. Ce regard qu'il porte sur le quotidien avec une bienveillance amusée, cette disposition d'esprit qui le rend "amoureux de ce qu'il voit" font de Doisneau l'archiviste des instants furtifs et des vérités passagères. "Il est des jours, dit-il, où l'on ressent le simple fait de voir comme un véritable bonheur."

      Robert Doisneau
    • 1980