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Marie de Prémonville

    Arrive un vagabond
    Dieu me déteste
    Féroces
    • Féroces

      • 254pages
      • 9 heures de lecture
      4,3(7)Évaluer

      Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C'étaient les années 1950, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Ming, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi: on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces.

      Féroces
    • Dieu me déteste

      • 234pages
      • 9 heures de lecture
      3,8(58)Évaluer

      New York, hôpital Hilltop. Richard sait qu'il ne fêtera pas ses dix-neuf ans, mais il a une furieuse envie de vivre ! Et d'embrasser Sylvie, la jolie fille de la 302... Contre la montre, le corps médical et sa famille toquée, ce Roméo casse-cou décide donc de flamber ses derniers rêves. Jusqu'à jouer son destin au poker, dans un des plus beaux bluffs jamais montés contre le sort... Ode explosive à l'adolescence et à l'amour, défiant la maladie et ses clichés, ce roman bouleversant offre une leçon d'humour ravageuse et une extraordinaire leçon de vie. " C'est un livre porté par un élan vital, un humour absolument incroyable. Une vraie découverte. " Olivia De Lamberterie, France 2

      Dieu me déteste
    • Arrive un vagabond

      • 345pages
      • 13 heures de lecture
      3,5(185)Évaluer

      C’est au cours de l’été 1948 que Charlie Beale arriva à Brownsburg. Il était chargé de deux valises – l’une contenait quelques affaires et des couteaux de boucher, l’autre une importante somme d’argent. Charlie y tomba deux fois amoureux. D’abord, il s’éprit de cette ville paisible de Virginie dont les habitants semblaient vivre dignement, dans la crainte supportable d’un Dieu qu’ils avaient toutes les raisons de trouver plutôt bienveillant à leur égard. Une preuve parmi d’autres : il n’y avait encore jamais eu de crime à Brownsburg. La deuxième fois que Charlie tomba amoureux fut le jour où il rencontra la belle Sylvan Glass...

      Arrive un vagabond