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Alain Vircondelet

    24 juillet 1947
    Alain Vircondelet
    Marguerite Duras
    Antoine de Saint Exupéry in Bildern und Dokumenten
    Balthus – Pozdní vzpomínky
    La Princesse de Lamballe
    Albert Camus
    Albert Camus, fils d'Alger
    • 2010

      Albert Camus, fils d'Alger

      • 382pages
      • 14 heures de lecture
      4,2(9)Évaluer

      Pour la première fois, une biographie s'attache à éclairer le génie d'Albert Camus par le génie de sa terre natale, l'Algérie, et celui de sa ville tant aimée, Alger, sans lesquelles, disait-il, il ne pouvait pas vivre... L'Algérie est l'espace tout entier de son imaginaire et de son engagement. Avec le temps, le conflit et l'exil, elle est même devenue une sorte d'Eden illuminant cette part intime qu'il appelait " obscure " et dont il regrettait, un an avant sa mort, qu'elle ne fût pas davantage perçue. Il fallait un autre fils d'Alger pour comprendre cette dimension sensible de l'écrivain. Alain Vircondelet a grandi dans un quartier populaire, il a fréquenté les mêmes écoles, les mêmes plages, les mêmes lieux qu'Albert Camus. Grâce à son ample connaissance de l'oeuvre, il raconte la douleur de l'exil et la nostalgie d'un pays devenu mythique, lieu de refuge et de consolation...

      Albert Camus, fils d'Alger
    • 1998

      La fin du XXe siècle a besoin de voix fortes et sensibles qui rappellent à l'homme ses vraies valeurs. Celle d'Albert Camus reste obstinément vivante. Son oeuvre est sans cesse réoxygénée par la présence lyrique de l'Algérie, sa terre natale : l'exigence de lucidité, d'authenticité, la volonté d'être solidaire de la "terre des hommes" et des hommes, tout semble lui avoir été inspiré par ses racines méditerranéennes. Alain Vircondelet raconte cette vie et cette oeuvre balayées par le souffle de l'histoire, brûlées par le soleil d'un pays dont la perte laissa Camus inconsolable. Les photographies tirées de l'album de famille de Catherine et Jean Camus, ses enfants, incarnent davantage encore cette "part obscure" mais essentielle d'Albert Camus que la critique, disait-il, avait négligée.

      Albert Camus
    • 1995