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Nicolas Werth

    1 janvier 1950

    Nicolas Werth est un historien français, expert reconnu internationalement en études communistes, spécialisé dans l'histoire de l'Union Soviétique. Son travail explore en profondeur les aspects les plus sombres des régimes totalitaires et leur impact sur les vies humaines. Werth analyse les mécanismes de pouvoir, de propagande et de répression, dévoilant les méthodes par lesquelles les États totalitaires ont façonné et détruit des sociétés. Ses recherches contribuent à la compréhension des traumatismes historiques et servent d'avertissement contre l'aveuglement idéologique.

    Nicolas Werth
    Das Schwarzbuch des Kommunismus
    Die Insel der Kannibalen
    Cannibal Island
    Le livre noir du communisme
    La terreur et le désarroi. Stalin et son systeme
    Stalinisme et nazisme
    • 2007

      Métropole d'une religion de salut temporel, l'URSS de Staline fut un empire, élevé sur les ruines des nations européennes après deux guerres mondiales, et la propagandiste d'un message, apparemment universel, qui fascina des peuples du tiers monde ou des intellectuels, autant qu'il répandit une sorte de terreur partout ailleurs. Nicolas Werth explore les méandres de l'univers soviétique sous Staline. Il montre en quoi le stalinisme, dans la suite logique du léninisme, impose une ligne du parti fixée d'en haut, expérimente une véritable ingénierie sociale et propose aux Soviétiques la vision d'un monde peuplé de forces bonnes - les staliniens - et mauvaises - tous les autres, à noyer dans le sang. Mais cette extraordinaire violence du système ne se nourrit-elle pas d'une frustration permanente à contrôler un corps social éclaté ? Au croisement de l'histoire politique et d'une histoire sociale, cet ouvrage propose une nouvelle manière de penser le stalinisme.

      La terreur et le désarroi. Stalin et son systeme
    • 1999

      La comparaison entre nazisme et communisme, qui remonte à l'avant-guerre, continue de susciter nombre de débats, qu'ils soient scientifiques ou idéologiques. L'objet de cet ouvrage est de poser autrement le problème, sans considérer la comparaison comme «taboue», ni comme allant de soi. Dans les pays qui ont subi les deux systèmes totalitaires, cette comparaison est-elle fondée ou tient-elle d'une réalité enracinée dans la mémoire collective ?

      Stalinisme et nazisme
    • 1997

      Le livre noir du communisme

      Crimes, terreurs et répression

      • 846pages
      • 30 heures de lecture

      When it was first published in France in 1997, Le livre noir du Communisme touched off a storm of controversy that continues to rage today. Even some of his contributors shied away from chief editor Stéphane Courtois's conclusion that Communism, in all its many forms, was morally no better than Nazism; the two totalitarian systems, Courtois argued, were far better at killing than at governing, as the world learned to its sorrow. Communism did kill, Courtois and his fellow historians demonstrate, with ruthless efficiency: 25 million in Russia during the Bolshevik and Stalinist eras, perhaps 65 million in China under the eyes of Mao Zedong, 2 million in Cambodia, millions more Africa, Eastern Europe, and Latin America--an astonishingly high toll of victims. This freely expressed penchant for homicide, Courtois maintains, was no accident, but an integral trait of a philosophy, and a practical politics, that promised to erase class distinctions by erasing classes and the living humans that populated them. Courtois and his contributors document Communism's crimes in numbing detail, moving from country to country, revolution to revolution. The figures they offer will likely provoke argument, if not among cliometricians then among the ideologically inclined. So, too, will Courtois's suggestion that those who hold Lenin, Trotsky, and Ho Chi Minh in anything other than contempt are dupes, witting or not, of a murderous school of thought--one that, while in retreat around the world, still has many adherents. A thought-provoking work of history and social criticism, The Black Book of Communism fully merits the broadest possible readership and discussion. --Gregory McNamee

      Le livre noir du communisme