An essay on aesthetics by the Japanese novelist, this book explores architecture, jade, food, and even toilets, combining an acute sense of the use of space in buildings. The book also includes descriptions of laquerware under candlelight and women in the darkness of the house of pleasure.
Ce recueil comprend deux nouvelles, deux histoires d'amour atteignant des profondeurs de tendresse et de cruauté rarement abordées par la littérature occidentale. " L'histoire de Shunkin " relate la vie de Koto Mozuya, dite Shunkin, fille d'une riche famille d'apothicaires d'Osaka, et son histoire d'amour avec Sasuke, qui fut son serviteur, son élève et son amant durant toute sa vie. "Ashikari " est l'histoire de Oyu, jeune veuve ayant l'interdiction de se remarier afin d'élever son fils, et de Serizawa, épris l'un de l'autre mais contraints de ne partager qu'un amour platonique. Oyu persuade sa jeune sœur Oshizu d'épouser Serizawa, qu'elle aura au moins comme frère, et, devinant ses sentiments, celle-ci accepte volontiers pour rendre sa sœur heureuse.
"Un écrivain reçoit un matin l'appel d'un ami, riche oisif animé d'une passion coupable pour le cinéma et les romans policiers, qui lui propose de venir assister à un meurtre. Nous voilà entraînés avec lui dans le labyrinthe des bas-fonds de Tokyo et, furtivement glissés dans l'intervalle entre deux masures, l'œil collé au nœud évidé d'un volet, découvrant en voyeurs... Mais devons-nous croire ce que voient nos yeux ? Jeux de miroirs et d'apparences trompeuses, messages secrets à déchiffrer et, au cœur de l'énigme, la beauté indéchiffrable d'une femme dont l'amour peut s'avérer fatal."--Quatrième de couverture
Lors d'une promenade autour d'un ancien palais impérial, le sanctuaire de Minase, le narrateur rencontre un homme étrange. Est-ce un fantôme, un esprit qui hante les lieux ? Celui-ci lui offre du saké et lui raconte l'histoire de la belle O-Yû, perverse et inaccessible...
Dans une vieille famille de commerçants aisés dont tout le monde connaît le nom à Osaka, quatre filles ont mené une vie luxueuse jusqu'à la mort de leur père. Sa disparition et les changements de vie dans le Japon de l'entre-deux-guerres les ont laissées dans une situation financière précaire. Les deux aînées sont mariées, l'une avec un employé de banque, l'autre avec un expert-comptable. Leur destin est tout tracé, mais celui des cadettes ? Youki ko, timide, réservée, dévouée à sa famille, fidèle aux coutumes anciennes, refuse les uns après les autres des prétendants qu'elle juge indignes d'une alliance avec sa famille. Elle épouse le fils d'un vieux noble de la cour. Tae ko, la plus jeune, est moins conformiste : elle n'hésite pas à travailler pour gagner sa vie, part vivre avec le fils d'un joaillier, le quitte pour un photographe, et finit par épouser un barman, après la naissance de leur enfant.
In Childhood Years, originally published serially in a literary magazine
between 1955 and 1956, Tanizaki Jun'ichiro (1886-1965) takes a meandering look
back on his early life in Tokyo. He reflects on his upbringing, family, and
the capital city with a conversational-and not necessarily honest-eye,
offering insights into his later life and his writing.
Junichirō Tanizaki’s magisterial evocation of a proud Osaka family in decline during the years immediately before World War II is arguably the greatest Japanese novel of the twentieth century and a classic of international literature. Tsuruko, the eldest sister of the once-wealthy Makioka family, clings obstinately to the prestige of her family name even as her husband prepares to move their household to Tokyo, where that name means nothing. Sachiko compromises valiantly to secure the future of her younger sisters. The shy, unmarried Yukiko is a hostage to her family’s exacting standards, while the spirited Taeko rebels by flinging herself into scandalous romantic alliances and dreaming of studying fashion design in France. Filled with vignettes of a vanishing way of life, The Makioka Sisters is a poignant yet unsparing portrait of a family—and an entire society—sliding into the abyss of modernity. It possesses in abundance the keen social insight and unabashed sensuality that distinguish Tanizaki as a master novelist.
Tanizaki's masterpiece is the story of four sisters, and the declining
fortunes of a traditional Japanese family. It is a loving and nostalgic
recreation of the sumptuous, intricate upper-class life of Osaka immediately
before World War Two. With surgical precision, Tanizaki lays bare the sinews
of pride, and brings a vanished era to vibrant life.
In these seven stories, the author of The Makioka Sisters explores the territory where love becomes self-annihilation, where the contemplation of beauty gives way to fetishism, and where tradition becomes an instrument of refined cruelty.