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Uli Aumüller

    Sammlung Fischer: Die Pest
    Identity
    L'ignorance
    Le rideau : essai en sept parties
    The Second Sex
    Tout ce que j'aimais
    • Tout ce que j'aimais

      • 456pages
      • 16 heures de lecture
      4,4(524)Évaluer

      Au milieu des années 1970, à New York, deux couples d'artistes ont partagé les rêves de liberté de l'époque. De l'art et de la création, ils ont fait le ciment d'une amitié qu'ils voulaient éternelle et, quand ils ont fondé leur famille, se sont installés dans des appartements voisins. Rien n'a pu les préparer aux coups dont le destin va les frapper et qui vont infléchir radicalement le cours de leurs vies... Siri Hustvedt convie ici à un voyage à travers les régions inquiétantes de l'âme : bouleversant, ambigu, vertigineux, Tout ce que j'aimais est le roman d'une génération coupable d'innocence qui se retrouve, vingt ans plus tard, au bout de son beau rêve.

      Tout ce que j'aimais
    • 'Everyone who cares about freedom and justice for women should read The Second Sex' Guardian Simone de Beauvoir famously wrote, 'One is not born, but rather becomes, a woman'. In this groundbreaking work of feminism she examines the limits of female freedom and explodes our deeply ingrained beliefs about femininity. Liberation, she argues, entails challenging traditional perceptions of the social relationship between the sexes and, crucially, in achieving economic independence. Drawing on sociology, anthropology and biology, The Second Sex is as important and relevant today as when it was first published in 1949.

      The Second Sex
    • Le rideau : essai en sept parties

      • 204pages
      • 8 heures de lecture
      4,0(1564)Évaluer

      " Un rideau magique, tissé de légendes, était suspendu devant le monde. Cervantes envoya don Quichotte en voyage et déchira le rideau. Le monde s'ouvrit devant le chevalier errant dans toute la nudité comique de sa prose... C'est en déchirant le rideau de la préinterprétation que Cervantes a mis en route cet art nouveau ; son geste destructeur se reflète et se prolonge dans chaque roman digne de ce nom ; c'est le signe d'identité de l'art du roman. "

      Le rideau : essai en sept parties
    • Selon les propos de l'auteur lui-même, L'Ignorance n'est ni un roman politique, ni un texte autobiographique - même si le roman commence par la rencontre, dans un aéroport, de deux " dissidents " de l'Est réfugiés en Europe de l'Ouest, qui retournent pour quelques jours dans leur pays d'origine. L'ignorance, ici, ne fait pas allusion aux lacunes de la connaissance, mais précisément aux côtés inconnus de la nature humaine, qui ne se révèlent pas dans la fadeur du quotidien, cachés qu'ils sont derrière le " rideau de la normalité ", mais qui surgissent au grand jour dans des situations historiques exceptionnelles - comme la période de la Terreur sous la Révolution française. À partir de cette notion d'ignorance comme lacune existentielle, Milan Kundera s'interroge sur la mémoire, et surtout sur l'oubli, qui à ses yeux prend le pas sur le travail de la mémoire : " De quoi je me souviens? De très peu de choses. Et l'autre ne se souvient pas des mêmes choses. C'est donc une non-rencontre, mais qui est voilée par l'émotion. Mais, dès que la situation subit une vraie analyse, vous vous rendez compte de la présence de l'oubli."

      L'ignorance
    • Sometimes - perhaps only for an instant - we fail to recognise a companion; for a moment their identity ceases to exist, and thus we come to doubt our own. The effect is at its most acute in a couple where our existence is given meaning by our perception of a lover, and theirs of us. With his astonishing skill at building on and out from the significant moment, Kundera has placed such a situation and the resulting wave of panic at the core of the novel. In a narrative as intense as it is brief, a moment of confusion sets in motion a complex chain of events which forces the reader to cross and recross the divide between fantasy and reality. Profound, sad and disquieting but above all a love story, 'Identity' provides further proof of Kundera's astonishing gifts as a novelist.

      Identity