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Stéphane De Groodt

    Cet auteur est célèbre pour son humour absurde et littéraire, souvent caractérisé par des jeux de mots et des calembours. Son style distinctif, qui évoque des grands noms comme Raymond Devos et Pierre Desproges, laisse fréquemment ses invités spéciaux dans un état de perplexité amusée. Il est connu pour ses commentaires satiriques réguliers, offrant une perspective spirituelle et perspicace sur divers sujets. Son écriture se distingue par sa fantaisie linguistique et ses chutes inattendues qui incitent à la réflexion.

    Voyages en absurdie
    Retour en absurdie
    • 2014

      Après Voyages en absurdie, Stéphane De Groodt nous propose la suite de ses chroniques. En véritable jongleur de mots, talent qui lui a valu le prix Raymond-Devos, il nous invite à poursuivre ses rencontres aussi déjantées qu'improbables...Serge me demande des nouvelles de Vanessa car tout ce qui touche à Paradis l'atteint... Mime de rien, Marcel Marceau a beaucoup fait parler de lui...Yoko Ono refusait que j'aille au chevet du leadercool dont elle fut la muse. Et quand la muse-gueule, on la ramène pas... Charlot me répond avoir simplement réussi à trouver sa voie à une époque où le cinéma muait... C'est à Palo Alto que j'Atari car Steve Jobs a voulu dans la Silicone Caner. En bonus, le meilleur de son Courrier des téléspectateurs imaginairelivré dans La Matinalede Canal+.Stéphane De Groodt est un acteur et humoriste belge. Il joue notamment dans la série " Mes amis, mes amours, mes emmerdes " sur TF1. Il présente sa chronique " Retour vers le futur " tous les dimanches dans " Le Supplément " sur Canal +. Son premier recueil de chroniques Voyages en absurdie a connu un énorme succès.

      Retour en absurdie
    • 2013

      Voyages en absurdie

      • 201pages
      • 8 heures de lecture
      3,8(183)Évaluer

      "Vous le sachez peut-être, oui bon je dis ce que je veux, et si vous le savez pas je vais vous le dire quand même, parce qu'un homme averti en vaut deux et qu'une femme avertie en vaut la peine, mais ces chroniques, du latin chronicum et du franco-grec chroNikos, m'auront permis de conduire ma plume à Londres de moi-même, aux six côtés de l'Hexagone, aux plus hauts sommets des profondeurs, dans les régions les plus reculées, avancées, assises, debout, couchées des quatre coins du monde pour des rencontres aussi sûres que réalistes, aussi curieuses que rieuses. D'une simple touche sur mon clavier à spirale j'ai rencontré Reza Pahlavi, le fils de feu le Shah et de la chatte, ai vu danser Régine le twist à gaine, me suis transporté de la baraque d'Obama au jacuzzi de Silvio, me suis encastré dans Fidel, suis entré dans la reine, ai fait marcher Delon en large, ai été à la peine avec Jean-Marine, et laissé à terre Mitt...".

      Voyages en absurdie