Sur les épaules de la mort

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La poésie de Sorin Cerin est considérée comme une poésie philosophique existentialiste remarquable par des critiques littéraires tels qu'Alexandru Cistelecan, pour lequel Sorin Cerin a réussi à écrire une poésie philosophique qui allie l'imaginaire au conceptuel, bien qu'un tel poème soit si difficile à réaliser, soulignant que les poèmes de Sorin Cerin s'engagent brusquement dans les grandes et définitives équations existentielles et ne perdent pas de temps en confessions domestiques ou Elvira Sorohan qui, à son tour, il le voit, et comme une continuation du mouvement existentialiste du 21ème siècle, où elle met en lumière dans Sorin Cerin une œuvre poétique aux influences des précurseurs de l'existentialisme des XIXe et XXe siècles, comme Jean Paul Sartre, Gabriel Marcel ou Soren Kierkegaard, ou encore l'Ecclésiaste biblique, appréciant que Sorin Cerin ait reconfiguré l'existentialisme du présent , même si l'on croyait jusqu'alors que l'existentialisme était épuisé, rappelant que le vocabulaire de la poésie existentialiste universelle, facilement reconnaissable, est désormais redistribué dans une autre topique, ce qui conduit à des combinaisons étonnamment nouvelles, certains audacieux, ou terriblement durs, comme ceux qui visent l'église .