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Jean Dutourd

    Jean Dutourd
    Un ami qui vous veut du bien
    Le mauvais esprit
    Le vieil homme et la mer
    Le déjeuner du lundi
    Jeannot, mémoires d'un enfant
    Les nuits révolutionnaires
    • 2016

      A Cuba, voila quatre-vingt-quatre jours que le vieux Santiago rentre bredouille de la peche, ses filets désespérément vides. La chance l'a déserté depuis longtemps. A l'aube du quatre-vingt-cinquieme jour, son jeune ami Manolin lui fournit deux belles sardines fraîches pour appâter le poisson, et lui souhaite bonne chance en le regardant s'éloigner a bord de son petit bateau. Aujourd'hui, Santiago sent que la fortune lui revient. Et en effet, un poisson vient mordre a l'hameçon. C'est un marlin magnifique et gigantesque. Débute alors le plus âpre des duels. Combat de l'homme et de la nature, roman du courage et de l'espoir, Le vieil homme et la mer est un des plus grands livres de la littérature américaine.

      Le vieil homme et la mer
    • 1995

      Le septième jour

      récits des temps bibliques

      • 274pages
      • 10 heures de lecture

      Dans les marges du livre de la Genèse, où l'"on voit sans cesse la présence de Dieu, qui dirige les premiers pas des hommes sur la terre", Jean Dutourd s'amuse à broder des romans en réduction, tisse des gloses, ajoute des détails et redonne des couleurs vives à ce qui a été si souvent raconté.

      Le septième jour
    • 1986
    • 1985
    • 1983
    • 1981
    • 1978

      Quand on lit Restif, outre l'admiration, on éprouve un sentiment particulier, tel qu'aucun autre auteur n'en suscite, qui est de plonger tout à coup dans notre propre, de le humer, de le palper. Il y a, si j'ose dire, une odeur de France qui s'élève de ses livres, à laquelle deux siècles n'ont rien fait perdre de sa force. Plus qu'une odeur : les livres de Restif sont encore tout chauds. (...) Ces prolétaires, ces paysans, ces vendeuses, ces garçons de magasin, ces domestiques, ces honnêtes petites gens qu'il campe par centaines, avec leurs roueries, leurs calculs, leurs naïvetés, leurs entraînements, sont de notre sang, et nous ne les trouvons que chez lui. Il a constitué notre album de famille.

      Les nuits révolutionnaires