Plus d’un million de livres, à portée de main !
Bookbot

André Gide

    22 novembre 1869 – 19 février 1951

    André Gide fut un auteur français dont l'œuvre s'étendit du symbolisme à l'anticolonialisme. Sa fiction et ses écrits autobiographiques exposent le conflit entre son éducation et les contraintes sociales. L'œuvre de Gide explore la liberté et l'émancipation face aux limitations moralistes, animée par sa quête d'honnêteté intellectuelle. Ses textes d'auto-exploration reflètent la recherche d'une identité authentique, embrassant tous les aspects de sa nature sans compromettre ses valeurs.

    André Gide
    Les nourritures terrestres suivi de Les nouvelles nourritures
    La symphonie pastorale. Die Pastoral-Symphonie, französische Ausgabe
    Si le grain ne meurt
    Essais I.
    Journal
    Saül
    • 2025

      Im späten 19. Jahrhundert in der Romandie adoptiert ein Pastor mit seiner Frau Amélie ein blindes Mädchen, Gertrude. Als der älteste Sohn in Gertrude verliebt ist, entwickelt auch der Vater Gefühle für sie. Nach Gertrudes Augenoperation erkennt sie die Traurigkeit ihrer Adoptivmutter und sieht nur einen tragischen Ausweg.

      La Symphonie Pastorale. Die Pastoralsymphonie
    • 2012

      Journal

      Une anthologie (1889-1949)

      • 455pages
      • 16 heures de lecture
      5,0(2)Évaluer

      Librarian's note: An alternative cover edition for this ISBN can be found here.Le Journal d’André Gide peut être considéré comme la pièce maîtresse de l’écrivain. Texte original, transgressif à plus d’un titre par rapport à la morale courante – les tabous de la sexualité, les idées reçues, les lieux communs, les idéologies, la religion – à la fois sérieux et drôle, grave et léger, rapide et lent – il reste d’une ampleur et d’une amplitude insoupçonnées. Cette anthologie, qui se réclame de l’art de la réduction cher aux compositeurs, a pour but de rendre l’une et l’autre, quintessenciées

      Journal
    • 2009

      Fasciné par la machine judiciaire comme par les aperçus des replis de l'âme humaine que lui apporte son expérience de juré, l'écrivain André Gide assiste pendant plusieurs semaines à divers procès : affaires de mœurs, infanticide, vols… Dans ce texte dense et grave, Gide s'interroge sur la justice et son fonctionnement, mais surtout insiste sur la fragile barrière qui sépare les criminels des honnêtes gens.

      Souvenirs de la cour d'assises
    • 2008
    • 2000

      Essais I.

      Préface d'André Gide

      4,2(11)Évaluer

      C'est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t'avertit, dès l'entrée, que je ne m'y suis proposé aucune fin, que domestique et privée ... Je veux qu'on m'y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention et artifice : car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve, autant que la révérence publique me l'a permis. Que si j'eusse été entre ces nations qu'on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t'assure que je m'y fusse très volontiers peint tout entier, et tout nu. " Dans la plupart des auteurs, je vois l'homme qui écrit ; dans Montaigne je vois l'homme qui pense ". (Montesquieu).

      Essais I.
    • 1997

      Voici enfin publiée intégralement – les seules lettres de Régnier l'avaient été il y a vingt cinq ans – l'importante correspondance d'André Gide avec celui qui fut d'abord pour lui un poète admiré (son aîné de cinq ans) et un ami très proche avec lequel il fit son premier vrai voyage (à travers la Bretagne, en 1892). Pendant plus de dix ans, leurs lettres font revivre toute cette fin-de-siècle littéraire riche et bouillonnante de productions originales. Pierre Louÿs et le milieu Heredia (Régnier et Louÿs furent les gendres du poète des Trophées), Paul Valéry, Francis Jammes... sont parmi les acteurs de cette chronique. Mais Gide, en 1900, eut le bon goût de ne guère aimer le roman un peu trop « polisson » de Régnier, La double Maîtresse : blessé, le susceptible auteur ne devait jamais lui pardonner cette critique, et se déroba toujours à une réconciliation, que Gide souhaitait pourtant. Leurs relations s'espacèrent, dans une progressive glaciation ; un dernier échange épistolaire en 1911 ne fut suivi, de la part de Régnier, que par des témoignages d'hostilité rancunière vis-à-vis de son ancien ami, devenu à ses yeux « un médiocre prosateur à la médiocrité prétentieuse », – Gide demeurant, lui, fidèle à son admiration de jeunesse et faisant une belle place aux vers de Régnier dans son Anthologie de la poésie française de la Pléiade.

      Correspondance (1891-1911)
    • 1997